Mincir, ne doit pas être une fin en soit, mais plutôt correspondre à un objectif de santé. L’aspect esthétique suivra, car une personne en bonne santé est toujours une belle personne.
Présenter une surcharge pondérale signifie que votre masse grasse est en excès, avec un indice de masse corporelle (IMC), dépassant la courbe de normalité. Cela peut avoir une incidence négative sur la santé, une gêne lors des activités journalières, et parfois un aspect disgracieux selon les canons actuels de la beauté . Il faut donc maigrir !
Bien que le mot soit moins joli que « mincir », il est plus approprié.
En effet, perdre du poids ne sert à rien si vous perdez du muscle plutôt que « du gras ». Le but est de « sécher ».
Je tiens également à préciser qu’il n’est pas bon pour la santé de présenter une masse adipeuse inférieure à la norme. Les moyens de revenir à des valeurs d’IMC correctes, sont identiques dans tous les cas.
S’alimenter sert à apporter à l’organisme, les nutriments : protéines, glucides, lipides, vitamines, sels minéraux, eau et fibres, qui sont nécessaires au renouvellement des cellules, et au bon équilibre métabolique, et ainsi, fournir le combustible (mesuré en calories), qui sera brûlé pour produire l’énergie indispensable au fonctionnement de cet organisme à tous les niveaux.
Aujourd’hui, nous n’avons plus à passer nos journées à chasser pour notre subsistance, et l’existence est plutôt sédentaire.
L’alimentation « plaisir » (ou compensatoire), avec la multiplicité de l’offre de ses produits de qualité ou de mauvaise synthèse, semble plus importante.
Les apports caloriques sont donc parfois supérieurs à notre dépense énergétique. L’organisme va donc stocker cet excédent sous forme de réserve graisseuse.
Pour pallier à cela, le seul régime qui convient, consiste à manger équilibré, des repas comportant tous les nutriments nécessaires à l’organisme, mais en quantité appropriée à un poids « de forme ».
2 – Agir sur « ce qui sort » : la dépense énergétique
L’activité physique permet de brûler assez de calories pour que l’organisme fabrique du muscle, au détriment de la graisse, et renforce le cœur et le vaisseaux, afin d’améliorer l’endurance à l’effort, d’améliorer les performances sportives adaptées à chacun, et ainsi enclencher un cycle vertueux pour tout le métabolisme.
L’activité physique comporte donc trois aspects :
Toute activité sportive doit se clôturer par des mouvements de « stretching » (étirements), qui servent à drainer les toxines telles que l’acide lactique qui s’accumulent dans les muscles et de favoriser la réparation des microtraumatismes qui surviennent au niveau des fibres musculaires lors d’un effort prolongé.
Idéalement, il serait bon également de rajouter des petits mouvements pour mobiliser en douceur les articulations, et cerise sur le gâteau … un peu de relaxation avec une bonne musique. (non ! pas de Pastis !)
3 – L’hygiene de vie globale : sommeil, loisirs, sexe …
Le stress, les carence affectives, et bien d’autres troubles de la vie, par certains mécanismes, provoquent parfois, un phénomène de stockage de graisse.
Les excès en tous genre, alcool, tabac, et médicaments notamment, favorisent les troubles du métabolismes.
Utiliser tous les moyens possibles pour être heureux, car le bonheur améliore l’obtention d’un bon poids. L’équilibre psychique et l’équilibre biologique sont interactifs.